Exemples de programmes éducatifs dans lesquels l’utilisation de la langue maternelle ou de langues communautaires a amélioré l’enseignement et l’apprentissage.

Candida, Shingai et Paolo sont trois élèves dont l'accès à l'éducation a été mis à mal par les impacts du changement climatique dans leurs pays respectifs que sont le Mozambique, le Zimbabwe et le Vanuatu. Découvrez leurs histories.

L'accès à l'eau potable, ainsi que des toilettes et des points de lavage des mains sont indispensables pour préserver la santé des enfants et leur capacité à apprendre. C'est pourquoi les programmes financés par le GPE dans les pays partenaires œuvrent à rénover les points d'eau et d'assainissement dans les écoles.

La JICA et le GPE travaillent ensemble pour tirer parti des connaissances et de l'expérience du Japon, en vue de faire progresser l'éducation dans les pays partenaires en s'attaquant aux problèmes urgents auxquels est confronté le secteur de l'éducation de base, entre autres.

L'éducation devient de plus en plus la cible d'attaques violentes, privant des millions de personnes de leur droit à l'éducation et entravant la réalisation de l'ODD 4.

Mise à l’échelle des interventions visant à promouvoir la motivation intrinsèque des enseignants et à améliorer les partenariats d’apprentissage du gouvernement.

L’intégration efficace des technologies dans l’éducation dépend de la capacité des responsables de l’éducation à définir une vision claire. Découvrez comment les dirigeants d’Indonésie et du Malawi ont procédé.

De Djibouti, à la RDP lao en passant par le Nicaragua, la Somalie, le Soudan du Sud et le Zimbabwe, des récits sur la manière dont le soutien du GPE et des partenaires favorise l'accès d'un plus grand nombre d'enfants aux manuels scolaires.

Cette série met en avant les voix et idées de partenaires et de praticiens sur la manière dont ils travaillent à transformer les systèmes éducatifs.

Le Partenariat mondial pour l’éducation (GPE) augmente son soutien aux pays touchés par les conflits grâce à trois nouveaux financements approuvés par le Conseil d’administration et destinés à l’Afghanistan, au Myanmar et au Soudan du Sud, pour un montant de plus de 200 millions de dollars.