Grâce au soutien du Partenariat mondial pour l'éducation (GPE), davantage d'enfants au Burundi peuvent accéder à l'éducation et continuer à apprendre même en temps de crise.

Rapport d’achèvement du financement accéléré du GPE de 9,4 millions de dollars en faveur du Burundi pour soutenir la mise en œuvre du Programme d’appui à la continuité des apprentissages dans les situations d’urgence (PACASU-TUBARAMIRE) avec l’UNICEF comme agent partenaire.

Découvrez comment le PASEC s’efforce de soutenir les systèmes nationaux d’évaluation des apprentissages et la valeur ajoutée de son approche pour améliorer l’éducation en Afrique.

Le présent pacte de partenariat fait l’économie des concertations et conclusions des acteurs du système éducatif autour de l’amélioration équitable et inclusive de la qualité des apprentissages.

Ce rapport de progrès sur le programme d'appui à la continuité des apprentissages dans les situations d'urgence (PACASU - TUBARAMIRE) couvre la période février 2021 à fin janvier 2022.

Courant octobre 2020, le Burundi a soumis une requête de financement accéléré pour la mise en œuvre du Programme d’appui à la continuité des apprentissages dans les situations d’urgence (PACASU-TUBARAMIRE).

Bien que le Burundi n'ait pas fermé ses écoles pendant la pandémie, la COVID-19 a tout de même constitué une menace sérieuse pour la scolarisation des enfants. Découvrez comment le GPE a travaillé avec le gouvernement et l'UNICEF pour aider à contenir son impact sur le système éducatif et soutenir la continuité de l'apprentissage des enfants.

Plus de 176 millions de dollars en nouveaux financements approuvés pour le Bénin, le Burundi, le Népal, l’Ouzbékistan, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et la Tanzanie

Découvrez comment le GPE travaille avec le gouvernement du Burundi et l'UNICEF pour assurer que l'apprentissage des enfants ne soit pas interrompu par les catastrophes naturelles dues au changement climatique.

Les groupes locaux des partenaires de l’éducation sont désormais en mesure d'évaluer leur fonctionnement et d'identifier les domaines à améliorer à l'aide d'un outil d'auto-évaluation basé sur le retours des utilisateurs des pays partenaires.