La JICA et le GPE travaillent ensemble pour tirer parti des connaissances et de l'expérience du Japon, en vue de faire progresser l'éducation dans les pays partenaires en s'attaquant aux problèmes urgents auxquels est confronté le secteur de l'éducation de base, entre autres.

Le GPE soutient le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée dans ses efforts pour assurer la continuité de l’apprentissage de tous les élèves pendant cette pandémie de coronavirus. En finançant ces initiatives durables, le GPE contribue à renforcer la capacité du système éducatif du pays à résister aux crises futures et à assurer un avenir prospère et sûr aux enfants.

Grâce au soutien du Partenariat mondial pour l’éducation (PME), le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée aide les enfants à acquérir de bonnes compétences en lecture qui leur permettront d’accroître leurs chances de réussite scolaire et d’apprentissage sur le long terme.

Plus de 176 millions de dollars en nouveaux financements approuvés pour le Bénin, le Burundi, le Népal, l’Ouzbékistan, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et la Tanzanie

Depuis la mise en place par le GPE du plus grand fonds d’urgence au monde doté de plus de 500 millions de dollars US pour soutenir les programmes de riposte à la COVID-19 des pays à faible revenu, 66 financements ont été alloués et près de 355 millions d'enfants ont bénéficié. Mais, derrière ces chiffres se cachent de belles histoires.

Au cours de la dernière décennie, diverses initiatives de mise en œuvre de mécanismes innovants de financement de l'éducation ont vu le jour pour remédier aux déséquilibres de financement existants. Le fonds à effet multiplicateur du GPE en est un et a déjà mobilisé 2 milliards de dollars supplémentaires pour 40 pays.

En Papouasie–Nouvelle-Guinée, le GPE œuvre aux côtés du gouvernement et de Save the Children pour former les enseignants et leur permettre d’améliorer à leur tour les compétences des élèves en mathématiques et en sciences.

Les groupes locaux des partenaires de l’éducation sont désormais en mesure d'évaluer leur fonctionnement et d'identifier les domaines à améliorer à l'aide d'un outil d'auto-évaluation basé sur le retours des utilisateurs des pays partenaires.