Plus de trois ans après le début de la pandémie de COVID-19, il est difficile de tirer des enseignements positifs des ravages causés par le virus sur la santé, le bien-être des populations et l'économie.
Cette situation désastreuse avait pris tout le monde de court. Rapidement, les pays ont compris que laisser les enfants à la maison pendant de longues périodes sans aucune instruction ni accès à l'apprentissage nuirait non seulement à leur scolarité, mais aussi à leur santé mentale.
Au Guyana, la pandémie a entraîné la fermeture des écoles pendant environ 18 mois, entravant ainsi l’accès de plus de 208 000 élèves à leurs salles de classe. Dans les régions reculées, certaines écoles sont restées ouvertes en accueillant à tour de rôle des groupes plus petits d’enfants dans les classes.