Les forums de haut niveau, de Monterrey en 2002 à Busan en 2011, ont démontré l’engagement des partenaires de développement en faveur d’une utilisation efficace de l’aide.
Lors de ces rencontres, les participants ont reconnu qu’une aide non coordonnée entraîne la duplication et la fragmentation des efforts. Ils ont reconnu aussi que le manque de coordination a des répercussions sur la capacité des gouvernements à absorber l’aide et à la mettre en oeuvre.
Les approches des partenaires favorisent l’alignement sur les politiques et les systèmes nationaux, la simplification des procédures et le passage d’un dialogue mené par les bailleurs de fonds à une coordination menée par les pays.
Dans le secteur de l’éducation, les partenaires travaillent avec les gouvernements par l’intermédiaire des groupes locaux des partenaires de l’éducation (ou leur équivalent) pour soutenir les priorités nationales, comprendre les points de blocage et gérer la complexité du paysage du développement.