Dialogue politique sur le financement innovant de l’enseignement supérieur en Afrique : revitaliser le rôle du secteur privé
Des jeunes réfugiées utilisant des tablettes numériques pour suivre des cours en ligne.
Credit:
GPE/Michael Knief/AP

L’Afrique a fait d’énormes progrès dans le développement des compétences en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (STEM), mais des défis subsistent. Les dépenses consacrées à l’enseignement supérieur en Afrique sont essentielles pour les l'enseignement, la recherche et le développement des STEM.

Compte tenu du faible financement public de l’enseignement supérieur en Afrique, il existe un besoin crucial d’une plus grande implication du secteur privé à travers le continent et d’un engagement politique pour garantir les retours sur investissement du secteur privé.

Cet événement, organisé en partenariat avec la Commission de l'Union africaine, le gouvernement du Kenya et la GIZ/KFW, dans le cadre des Assemblées annuelles 2024 de la Banque africaine de développement (BAD), offrira une plateforme permettant aux dirigeants africains et au secteur privé d'examiner et de s'engager à augmenter le financement pour l'enseignement tertiaire.

L'événement permettra de discuter des stratégies et des meilleures pratiques pour stimuler le financement du secteur privé et d'explorer comment le secteur privé peut contribuer au développement des compétences axé sur la demande pour permettre à l'Afrique de remédier aux inégalités persistantes de compétences.

Les participants comprendront des ministres des Finances, des ministres de l’Éducation/EFTP, des leaders du secteur privé, des administrateurs du monde universitaire et de l’enseignement supérieur, les principaux acteurs/régulateurs de l’EFTP, les autorités nationales de formation, des partenaires de développement, des organismes philanthropiques et le personnel de la BAD.

Horaire : 09:00-10:30 ET / 13:00-14:30 GMT / 14:00-15:30 CET / 16:00-17:30 EAT

Consulter le programme complet des Assemblées annuelles 2024 de la BAD

Un service d'interprétation en anglais et en français sera disponible.

Des jeunes réfugiées utilisant des tablettes numériques pour suivre des cours en ligne.
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GPE/Michael Knief/AP